près d'une colonne ancienne

Il la fixa, comme il le faisait tous les autres fois

- Aimer celui qui a tuer tes parents ?.... C'est stupid, tu ne penses pas ?

elle se releva et tira la langue.

- je suis donc stupide.

elle souria, malgré ses pensées tristes et haineuses, tendit sa main à seikan et le releva.

- Merci... je vais retourner au manoir, je suis trempé...

Il la fixa d'un air intérogateur

- Je peux t'accompagner..? Mon appartement tombeen ruine, il faut que je cherche ailleurs..

elle prit un air géné.

- Oui, si tu veux.

Il prit la main de Red et l'emmena avec lui vers le manoir

Red arriva aux ruines après etre sortie du manoir en courant. Elle attrappa ses flingues, par terre, où elle les avait oubliés.

- *heureusement que personne ne les a pri.. enfin, il faut dire que l'endroit n'est pas très fréquenté..*

elle souria ironiquement puis partit de l'endroit.

Aihara arriva en marchant près d'une ancienne colonne.
Aihara:ça ménerve!!
elle frapa le sol avec son pied et des morceaux de feuilles brulés volèrent.
Aihara:tien...quesque c'est?
elle se baissa pour mieux regarder.
Aihara:on diré que quelqu'un a brulés ces feuilles volontairement...
puis elle apercut un morceau de papier qui était le suele a ne pa avoir brulé.Aihara:"légende des terres interdites.......seikan en a tué 3..."
*quesque c'est?!*
lorsquelle eu comprit la phrase légèrement brulée elle sursota et se leva en tenan le papier dan sa main.
Aihara:la légendes!!quelqu'un aurait trouvé la réponse!!pourquoi la t'il brulée!!??
*si cela est vrai je vien d'aprendre le nom de celui qui aurait tué tous ces gens...dont ma mère...*
la panique la gagna,elle recula jusqu'a ce qu'elle puisse sadossé a une colonne puis elle sentit un objet dur dans son dos.elle se retourna et vit un couteau plenté dans la colonne.
Aihara:...mais...c'est le couteau de red!!quesque sa veut dire?!je ny comprend rien!!
elle prit le couteau et le mit dans la poche de son jean.
Aihara:je crois qu'elle a des chose a me dire...
elle ramassa le bout de papier puis le mit dans sa poche et elle tourna les talons puis s'en alla.